J’ai déjà eu l’occasion de parler de Jonah par ici … mais tout de même, cette incroyable et étincelante saga pour la jeunesse méritait un petit billet pour vous exhorter à aller l’acheter le plus rapidement possible … à vos marques … prêts ? … partez !
Ceux qui sont déjà en train de courir vers leur librairie et qui ne lisent donc pas ces lignes : félicitations.
Ceux qui sont encore là pour les lire, vous avez de la chance, j’ai justement prévu d’en écrire encore quelques-unes pour que vous déguerpissiez rapidement !
Jonah est une saga qui va compter 7 tomes. Mais que ce nombre ne vous effraie pas.
1) Il y en a déjà 2 de sortis
2) Le troisième arrive cet automne
3) Les autres vont suivre dans un rythme effréné !
C’est déjà pas mal non ? Ça ne suffit pas ? Alors on continue !
4) C’est un super cadeau pour vos enfants …
5) … ou même vos ados …
6) … et vous pourrez leur piquer !
7) Si ce n’est pas un parent qui lit ses mots alors laisse « négligemment » cette page ouverture sur leur ordinateur !
Ce n’est toujours pas suffisant ? Alors il va falloir détailler ! Je suis là pour ça après tout … non ?
Jonah est un jeune garçon très particulier : d’abord parce qu’il est né sans mains (d’où l’intrigante (et magnifique) couverture signée Rébecca Dautremer) et ensuite parce qu’il est né avec cette extraordinaire joie de vivre. Il sourit, rit, est heureux (à peu près) tout le temps. Mais le mieux, c’est que c’est étonnamment contagieux. Tous ceux qui se retrouvent dans les parages sont soudainement incroyablement joyeux ! C’est, selon moi, le plus gros point fort du roman. Jonah rayonne d’une allégresse déconcertante mais ô combien jubilatoire et apaisante.
Chaque page est une dent de cet immense sourire.
N’en doutez pas, cette joie est contagieuse … et pour le lecteur aussi ! Mais ne vous inquiétez pas (numéro 8 de ma fabuleuse (non ?) liste !) c’est une délicieuse maladie ! Or une telle maladie a malheureusement trop souvent tendance à être supprimée dans la littérature YA (= Young Adult, dite jeunes adultes).
N’outrepassons cependant pas le fait que cette joie pourrait être « trop » facile, puisque cette légèreté et cette allégresse sont, il me semble, fréquentes dans la littérature destinée à cet âge (à partir de 11/12 ans) … à coup de phrases à points d’exclamation, ton enfantin bien que j’en lise finalement assez peu.
Dans Jonah, chaque émotion n’est pas exacerbée, dans Jonah, chaque émotion est sous sa forme la plus pure, et les mots de l’auteur suffisent à en faire ressentir toutes les nuances, toutes les subtilités et toute la puissance. Bref, tout cela pour dire (numéro 9 !) que cette chaleureuse lumière s’exprime, dans Jonah, avec une profondeur et une finesse qui ne prennent pas le lecteur pour un idiot ! L’écriture de Taï-Marc Le Thanh est d’une richesse véritablement captivante. Chaque scène est décrite scrupuleusement si bien qu’il suffit de fermer les yeux (enfin pas trop quand même, il faut lire aussi) pour voir les personnages prendre vie sur le prodigieux écran de nos paupières où notre imagination projette un univers onirique. Jonah est réjouissant, captivant, mais aussi gourmand (numéro 10 !) et c’est un véritable plaisir d’avaler goulûment ces quelques 600 pages (en 2 tomes). C’est un de ces romans qui prend le contrôle de votre cerveau avec une telle intelligence que vous n’avez même plus conscience du chemin que trace votre main entre la page que vous venez de finir et la précédente (lorsqu’elle tourne la page, quoi, pour ceux qui ne suivent pas.) !
10 raisons c’est peut-être pas mal non ? Mais on va rajouter quelques-unes pour finir !
Gourmand –et ce pour tous les âges !-, jouissif, passionnant de bout en bout, riche, profond, subtil …
Jonah est aussi le début (très prometteur !) d’une saga aux rebondissements qui se comptent par dizaines (numéro 11 !), aux personnages innombrables mais minutieusement tissés, complexes, riches, vivants (numéro 12 !) et dans cette profusion règne un ordre étonnant, qui contemple tout le reste et lui fait don d’une incroyable harmonie, de sorte qu’on ne s’y perd jamais, de sorte que chaque engrenage participe à un schéma complexe mais habilement fluide (numéro 13 !).
Aussi m’arrêté-je là, pour que ce nombre 13 devienne, avec cette merveilleuse saga, un nombre porte-bonheur !
En définitive, Jonah est un livre doté d’un illustre pouvoir, celui incommensurable -que le lecteur soit enfant, ado ou adulte- de faire rêver.
Allez bientôt la suite avec ces superbes couvertures ♥
Et une vidéo de promotion
(où je suis dedans ^.^)
pour la série :D
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