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Le livre des ténèbres
à 11€50
chez Valentina
(le blog)
Disponible ici
137 pages
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Tout crime doit être puni. Le châtiment le plus terrible n'est pas nécessairement la mort.
Mathias Crugeur, écrivain à succès, l'apprendra à ses dépends. Les ténèbres vont le prendre pour cible.
Elles vont tenter de l'effrayer, de le rendre fou, de le briser, et ce, dans le but de l'annihiler.
La vengeance est écrite en lettres de sang et il n'existe aucun moyen d'en réchapper lorsque le diable en personne vous poursuit.
Les secrets sont cachés dans l'Histoire, la malédiction est implacable.
Ce roman machiavélique regorge de sorcellerie et d'entités en tout genre. L'ambiance inquiétante fera remonter vos angoisses les plus anciennes.
« Vous ne pouvez pas vous enfuir, où que vous soyez, la chose vous rattrapera. »
Mathias Crugeur, écrivain à succès, l'apprendra à ses dépends. Les ténèbres vont le prendre pour cible.
Elles vont tenter de l'effrayer, de le rendre fou, de le briser, et ce, dans le but de l'annihiler.
La vengeance est écrite en lettres de sang et il n'existe aucun moyen d'en réchapper lorsque le diable en personne vous poursuit.
Les secrets sont cachés dans l'Histoire, la malédiction est implacable.
Ce roman machiavélique regorge de sorcellerie et d'entités en tout genre. L'ambiance inquiétante fera remonter vos angoisses les plus anciennes.
« Vous ne pouvez pas vous enfuir, où que vous soyez, la chose vous rattrapera. »
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Les éditions
Valentina est une nouvelle maison d’édition que je suis depuis sa naissance et
son entrée dans la blogosphère, et sur facebook ! Une équipe très
sympathique et des publications qui promettent d’être très sympas, voilà ce que
j’ai à dire sur cette maison, dont je vous avais déjà parlé ! Tom
(lavoixdulivre) et moi achetons ensemble leurs parutions, et si je n’ai pas
encore lu Selena Rosa, une fois le
livre reçu et quelques évènements facebookiens j’ai finalement craqué et
englouti hier soir Le livre des ténèbres…
Même si j’ai été sceptique pendant certains moments, j’ai passé un très bon moment
au cœur des ténèbres …
Le tout commence
très fort, sur un prologue intitulé L’âge
d’or et il porte très bien son nom … Profitez de ces moments, car vous n’en
aurez pas beaucoup ! On découvre la vie du petit Mathias, de ses parents,
sa gouvernante et le fils de celle-ci avec lequel l’enfant joue sans cesse, à
savoir Alban … Mais celui-ci, étant le fils de la gouvernante, est bien plus
choyé et aimé que ce personnage qui deviendra le personnage principal. Et cela
va faire naître en lui une jalousie sans limite … L’auteur ne vous épargne pas,
ça non, et vous horrifie dès le début. Mais l’histoire, l’intrigue que nous
suivrons durant cette lecture début alors 30 ans plus tard …
Je ne vous en dis
pas plus et vous laisse découvrir tout cela par vous-même !
L’ambiance, c’est
facile, elle sera à la peur tout le long du roman … Evènements effrayants,
tempêtes et changements métrologiques inexpliqués, statues qui prennent vie …
Ames sensibles s’abstenir ! Mais vous serez aussi mêlés au quotidien
monotone de Mathias qui est un grand écrivain. J’ai beaucoup aimé ce côté-là, l’auteur
nous plongeant dans un monde ténébreux, mais aussi littéraire ! Il y a de
quoi se rapprocher du personnage ;-)
Bon, je vous
parle dans l’introduction, de septicisme … Pourquoi ? Pour deux points.
Le premier, c’est
la peur. Je dois vous dire, vous allez trembler ! Mais je n’ai pas
ressenti une angoisse … terrible
comme j’aurais pu l’espérer. En même temps, dans ma lecture je n’ai pas eu l’impression
que l’angoisse était recherchée, celle que je ressens parfois à m’en crisper au
livre. Bon mes propos vous paraissent peut-être faux, surtout si l’auteur passe
par là, mais j’ai plutôt eu l’impression que plus que l’angoisse, la peur était
recherchée chez le lecteur. Parce que je trouve que ça n’y va pas doucement, de
manière à faire monter la tension, mais plutôt direct, franc et shlaa prends ça
et déglutis face à cette peur qui te colle ! Bon j’arrête mon délire mais
voilà, je trouve qu’il y a nuance, j’espère que ça n’est pas faux, mais moi c’est
ce que j’ai ressenti ! (c’est pas
vraiment clair, j’espère que vous me suivez dans ma nuance … )
Le deuxième, je n’arrivais
pas à mettre un doigt dessus, quand ça m’est soudainement venu au milieu du
livre … Celui-ci ne comporte, presque, aucun dialogue ! Ce n’est que
discours indirect, ce qui peut donner une certaine absence mais qui trouve son effet quand les dialogues apparaissent
une ou deux fois avec Hervé et avec Paco
à la fin il me semble.
J’en profite pour
en venir à parler du style de l’auteur ! Je l’ai beaucoup aimé : dès
le début vous êtes plongés dans l’histoire. Christine Casuso a un style l’image du livre, comme je vous en parle
depuis le début : directe et franche. Des phrases courtes, efficaces,
constituent le livre en un rythme soutenu, rapide où les moments, et la vie
passe à toute vitesse. S’attarder sur des détails ? Non les années passent,
les jours et les semaines aussi sans que vous ne vous en rendiez compte !
Cela apporte beaucoup et on se fait à cette danse endiablée, et c’est le cas de
le dire …
Les personnages
sont peu nombreux. Il y a Madeleine, la gouvernante accablée par le chagrin, et
la haine va avoir raison d’elle. Il y a aussi Mathias l’écrivain blessé par la
vie, qui garde en lui le secret d’une terrible
erreur. Paco, que je vous laisse découvrir, ne prenant un rôle important
qu’à la fin, est le troisième des personnages principaux. Ils vont ensuite
rencontrer d’autres protagonistes, Hervé l’éditeur, la belle Tamara, le petit
Alban, …
Le livre des ténèbres porte donc bien
son nom et vous fera frissonner de peur … C’est l’histoire d’une demeure, l’histoire
de sa malédiction, l’histoire de deux générations qui l’ont traversée … Doit-on
espérer, ou capituler ? C’est une histoire de haine, de vengeance, et de
désespoir où vous sera balancé sans remord l’horreur et la détresse …
Oserez-vous pénétrer dans les Ténèbres ?
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Nathan, le 10 mars 2012
4 commentaires:
J'ai lu la réponse de l'auteur à ta critique et je trouve super de sa part d'avoir si bien pris les petits travers que tu as épinglé.
Au passage: "je vous parle dans l’introduction, de septicité" --> ??? La septicité est le fait d'être infecté, pourri. Peut-être cherchais-tu le mot "scepticisme"? Parce que là, le contresens n'est pas très glorieux pour le roman!
Bises!
Ça semble intéressant, mais le fait qu'il n'y a pas beaucoup de dialogue me refroidit un petit peu...
La couverture est magnifique !!! Et ta chronique me donne vraiment envie ! A suivre donc...
J'aime vraiment, vraiment beaucoup le design de ton blog
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