Les infos me proviennent de l'éditeur, merci de créditer :-)
Je n'ai lu que L'école est finie d'Yves Grevet mais vous avez sans doute entendu parler de Méto qui a connu un franc succès et peut-être de Seuls dans la ville ! Je vais vous parler du nouveau roman de l'auteur ... Nox
Nox, tome 1:
Ici-Bas
d'Yves Grevet
chez Syros
à 16€90
parution le 4/10/2012
420 pages
En quelques mots : Après Méto, Seuls dans la ville et L’école est finie, Yves Grevet revient avec un grand roman d’aventure qui renouvelle le genre de la dystopie.
Mots-clés : Aventure, monde imaginaire, société à deux vitesses, amitié, amour, engagement, manipulation, justice
Dans une ville basse enveloppée d’un brouillard opaque – la
nox –, les hommes sont contraints de pédaler ou de marcher sans cesse pour
produire leur lumière. Comme l’espérance de vie y est courte, la loi impose aux
adolescents de se marier et d’avoir un enfant dès l’âge de dix-sept ans. Lucen
a peur de perdre celle qu’il aime, la rebelle Firmie, qui refuse de se plier à
la règle. Il sent aussi ses meilleurs amis s’éloigner de lui. L’un d’eux,
Gerges, s’apprête à rejoindre la milice qui terrorise les habitants, un autre,
Maurce, un groupe hors-la-loi. C’est l’heure pour Lucen de faire des choix qui
détermineront toute son existence. Au même moment, dans des territoires
épargnés par la nox, la jeune Ludmilla ne se résigne pas au départ forcé de
Martha, la gouvernante qui l’a élevée, injustement renvoyée par son père. Elle
décide de tout tenter pour la retrouver.
Quelques questions à Yves Grevet
– Comment
vous est venue l’idée de ce roman ?
L’idée de la
Nox m’est venue après l’écriture du tome 2 de Méto où mon héros faisait
l’expérience d’une vie en aveugle à son arrivée chez les Oreilles coupées.
Prendre le parti d’un monde sans lumière naturelle s’est avéré très riche quant
aux conséquences sur la vie quotidienne mais aussi sur
l’organisation de la société, sa morale et ses valeurs. Le choix de ce contexte m’a entraîné vers un univers littéraire que j’affectionne en tant que lecteur, celui des romans victoriens. On peut trouver dans Nox des références au smog londonien, aux bas-fonds sordides, à une classe dominante
méprisante à l’égard de ses pauvres, aux combats de rats.
l’organisation de la société, sa morale et ses valeurs. Le choix de ce contexte m’a entraîné vers un univers littéraire que j’affectionne en tant que lecteur, celui des romans victoriens. On peut trouver dans Nox des références au smog londonien, aux bas-fonds sordides, à une classe dominante
méprisante à l’égard de ses pauvres, aux combats de rats.
– Il y a
trois voix narratives dans ce roman, pourquoi avez-vous fait ce choix ?
Je ne peux
écrire qu’à la première personne. C’est comme ça depuis toujours. Aussi il m’arrive
de me sentir frustré de ne pouvoir exprimer que les sentiments du personnage
principal. En écrivant Nox, je voulais donner la parole à plusieurs de mes
héros pour qu’on puisse juger de leur comportement d’une façon plus sensible et
plus honnête. Certaines scènes importantes sont racontées par plusieurs
personnages et on comprend ainsi mieux le point de vue et le ressenti de
chacun.
– Quelles
sont les différences entre Nox et Méto ?
Ce qui change avec Nox par rapport à Méto, c’est la
multiplicité des narrateurs qui me permet d’être au plus près de la psychologie
de mes personnages. L’alternance des narrateurs produit aussi un effet
d’attente entre les différents récits, même si ceux-ci se croisent parfois. À
mon sens, Nox est aussi plus proche de l’univers du feuilleton.
2 commentaires:
Oooooooooooooooooouuuuuuaaaais GENIAL ! :D
Moi aussi j'adore Timothée de Fombelle et Yves Grevet !!!
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