[ INTERVIEW extérieure ] Collection Galapagos

Voici une petite vidéo réalisée par les Histoires sans fin, inerview de plusieurs personnes de la collection Galapagos, mon nouveau partenaire !


Collection Galapagos - Editions de l'Archipel par LesHistoiresSansFin


[ ACTUS ] Divergent, le dessinateur


Voilà j'ai trouvé l'autre jour en cherchant la couverture, le site du dessinateur du dessin qui a été rajouté sur la couverture derrière le logo de Divergent ! Personnellement je n'aime pas ce dessin sur la couverture, il fait rajouté juste comme ça, c'est bizarre. Mais le travail est très beau et même s'il ne me plaît pas sur la couverture, le dessin tout seul au au-dessus de la date de parution du tome 2 dans le livre (ce que je n'avais jamais vu !) il en jette et retranscrit très bien le personnage ! Alors voilà si vous voulez visiter l'article que l'auteur a fait pour raconter sa petite aventure, c'est par ici ! Bonne visite ! :)

[CHRONIQUE] Time Riders tome 1 de Alex Scarrow

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Time Riders
tome 1
saga à 9 tomes
de Alex Scarrow
à 13€ 
chez Nathan Jeunesse
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Liam O'Connor aurait dû mourir en mer en 1912. Maddy Carter aurait dû mourir en avion en 2010. Sal Vikram aurait dû mourir dans un incendie en 2026. Mais une mystérieuse agence les a sauvés pour les recruter. Désormais, ils sont des Time Riders. Leur mission : empêcher que les voyages dans le temps ne changent l'Histoire.

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Time Riders était un livre que j’avais tout de suite eu envie de découvrir en le recevant, grâce aux éditions Nathan, et je les en remercie grandement ! Car je dois dire que je n’ai pas été déçu et ce livre m’a emporté dans une lecture rocambolesque, à découvrir sans modération !

On entre dans l’histoire très facilement en suivant tout d’abord la mort de Liam dans le Titanic. C’est tout de suite passionnant et s’enchaîne alors la mort de Maddy, qui est, elle, de notre époque. Elle meurt d’une façon que moi je détesterais, car c’est une chose qui me fait souvent peur et m’angoisse parfois … Quant à Sal, on ne nous la raconte pas, on apprend juste plus tard qu’elle est morte dans un incendie mais étrangement, c’est tout … Alors je me dis que peut-être ce sera approfondi plus tard, peut-être en apprendront nous bien plus sur ce futur ou bien est-ce tout ? Cela reste à voir, mais je suis sûr que pour les 8 tomes qui suivront ce premier, Alex Scarrow nous réserve bien des surprises …

Ensuite on découvre Foster, la bulle temporelle dans laquelle ils vivent, ou encore d’autres choses mystérieuses. On commence à se rendre compte de la complexité de ces voyages dans le temps et des problèmes que cela encourt. En parallèle on commence à suivre l’histoire d’un groupe d’homme qui prend des gardiens du Museum d’histoire naturel de New York en otage, espérant atteindre leur but qui se trouve être inconnu …  Puis l’histoire avance, et j’ai commencé à comprendre l’importance de ces personnages et de leur désir. Tout se mêle et s’entremêle …

Mais avant que tout ne bascule, l’auteur continue à introduire sa série avec l’initiation des membres de cette nouvelle équipe, les liens qu’ils commencent à créer et les problèmes à rencontrer.

Les voyages dans le temps, l’effet papillon, toutes les modifications qu’une simple altération peut engendrer. Ce sont des choses qui me fascinent. J’ai adoré le signe de K1 de Claire Gratias ou encore Hier tu comprendras de Rebecca Stead. Pendant l’histoire, vous vous poserez peut-être comme moi de nombreuses questions, en vous évoquant des choses incohérentes mais qui s’avèrent être en fait bien choisie car on se retrouve sinon à tourner dans une boucle sans fin … Parfois mieux vaut ne pas se poser de questions et tout simplement se dire que l’auteur s’est peut-être déjà bien cassé la tête avec ce genre de problèmes…

Comme je le dis plus tôt, l’histoire ou l’Histoire même, finit par basculer. Alors commence le plus dur. Un suspense haletant vous tiendra dans le vif de l’action, un décor inconcevable, post-apocalyptique vous apportera angoisse et questions … Je me suis souvent dit dans ma lecture que trouver ce qu’un tout petit évènement ou même plus gros entraînerait et ce qu’aurait pu être notre présent a sans doute été un travail qui n’a pas forcément été évident.

L’action, vous n’en manquerez pas ! Plongés dans un décor de seconde guerre mondiale, en 1956 où le pire est arrivé pour nous, tout s’enchaîne rapidement et se mêlent la peur et l’horreur. A chaque qu’on croit enfin qu’ils vont s’en sortir, nous voilà à nouveau replongés dans l’échec. On suit d’un côté Sal, Maddy et Foster, qui sont à la limite de tout perdre, et d’un autre Bob et Liam qui cherchent le moyen de rentrer.

Ces personnages sont les personnages principaux que nous suivront presque tous pendant toute ( ? ) la série et je n’en suis pas déçu ! Ils sont attachants, et mon préféré est Liam. Le seul garçon, celui qui doit affronter dès le début de lourdes épreuves. Il est encore fragile au début mais va évoluer. Maddy, le personnage auquel j’aurais pourtant du le plus me rapprocher, étant de mon époque à peu près est celle que j’ai le moins aimé… Est-ce son esprit pratique et informatique ? En tout cas cela ne veut pas dire que je ne l'ai pas appréciée non plus mais voilà… Sinon la fragilité de Sal qui s'accentue à travers les aventures et son attachement à Liam qui transparaît plus m'a fait l'adorer elle aussi ainsi que Bob et une légère innocence qui contraste avec son cerveau qui agit sans cœur … Mais malgré tout … Foster est bien mystérieux et même si vous finissez par en apprendre bien plus sur lui peut-être que nous n'en saurons jamais plus !

Bref des personnages attachants, et une tension soutenue alliés à un suspense haletant et une histoire très originale, tout est fait pour vous transporter bien loin jusqu'à la fin de l'ouvrage ! Une saga innovante, qui va faire du bruit, je l'espère, qui fait renaître la science-fiction dans la littérature Young-Adult ! Vous allez adorer !
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[ EVENT - CHRONIQUE ] Rien de plus précieux que le repos de Yamina Benahmed Daho



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Rien de plus précieux que le repos
de Yamina Benahemed Daho
à 9€90
chez Hélium
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Avant chaque journée rude et péniblement longue, les esclaves rejoignaient le terrain en attendant les ordres du maître. Alors que Tommy parcourait le terrain de long en large, il découvrit dans un coin un chou dont les feuilles étaient toutes flétries. Tommy savait qu'il ne pouvait retirer ces feuilles avec les mains, c'était la règle numéro 4. Alors il eut l'idée de le faire rouler en le poussant avec le plat du pied. 1863. Comment clans une plantation aux Etats-Unis un jeu avec un chou permit à des maîtres de s'enrichir. à des esclaves de gagner leur liberté et à un médecin solitaire de retrouver la compagnie des hommes. Un premier roman sur l'esclavage et la formation du collectif. une fable lumineuse et puissante sur la liberté. 

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Je remercie tout d’abord les éditions Hélium pour nous avoir offert le livre à mon frère jumeau et moi au salon du livre de Montreuil, lors de la dédicace de l’auteur ! Je dois dire que ce n’est pas du tout à ça que je m’attendais, pas forcément désagréablement, ce sentiment se tient à propos de l’histoire …

En effet, si la quatrième de couverture décrit la naissance d’un jeu de balle avec un chou, où l’abolition de l’esclavage, ce dernier évènement sera bien plus central que je ne l’aurais cru. On rentre assez facilement dans l’histoire et on découvre tout d’abord en prologue un médecin qui devient fermier et bâtit une vie avec un âne … Puis on nous envoie deux ans plus tôt au même endroit. J’ai eu un peu de mal à assimiler ce changement brusque et le fait qu’on se retrouvait au même endroit juste deux ans plus tôt… Je n’y ai donc pas trop prêté attention pour continuer ma lecture.

L’écriture est très simple, et assez sobre, rend le récit fluide. On ne s’attarde pas, on n’a pas de difficulté, et on découvre le cœur serré la vie de ces esclaves, la cruelle dureté qui les couvrent et leur malheur ambiant. On découvre aussi Stanley, cet ingrat maître et Spencer, sage et réfléchi, à qui on s’accroche telle une bouée de sauvetage. On apprend bien vite une intrigue de trahison entre eux et de plans secrets qui se retrouvera mise au second plan bien vite.

L’histoire est intéressante et on cherche à savoir la suite, en se laissant bercer par un léger soulagement lorsqu’on constate un petit assouplissement de la discipline de Stanley quant à Tommy mais cela ne dure pas bien longtemps …

On suit les matchs et les paris avec amusement, et le temps s’écoule rapidement jusqu’à un bouleversement total des évènements. C’est à ce moment là qu’on se sent bien plus révolté, et en colère. Alors tout se précipite. Vous en aurez peut-être le cœur serré, mais je ne suis même pas sûr que les plus sensibles en aient les larmes aux yeux malgré ce chagrin qui pourrait vous traverser. C’est alors que j’ai été assez surpris. Tout ça je ne m’y attendais pas et suit alors un périple, une fuite, dans la poésie du ciel et de la nature. C’est plus à ce moment là que je me rappelle avoir senti la fragilité et la poésie de l’écriture de l’auteure.

Les personnages sont pour la plupart des esclaves attachants, on a pitié, on compatit. Stanley et Spencer j’en ai parlé plus haut, mais ils sont assez clichés, ce qui n’est pas à prendre sous un mauvais point, notamment pour Spencer … Mais tous ces personnages ne sont pas grandement approfondis sauf pour Cooks qu’il a été très amusant pour moi de découvrir au prologue avec son âne à qui il offre une dent en or et ses champs de choux. On le retrouve alors à l’épilogue. Moi je m’attendais à découvrir un lien, j’avais envie de découvrir un lien entre ce Cooks et un autre personnage surtout lorsqu’il est invité à assister à une partie de Chouball. Il y en a sûrement, mais si c’est le cas, ça n’est pas dit explicitement. Cette dernière scène est empreinte d’émotion qui se peint sous le ciel étoilé.

En conclusion, on quitte le livre avec un petit sourire aux lèvres. J’ai passé un bon moment de lecture, sans plus avec un livre qui se lit très rapidement. Alors pourquoi ne pas tenter ? Un petit conte qui vous ouvrira un peu plus les yeux sur la dureté de l’humanité et sur l’abolition de l’esclavage.
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C'est d'un conte qu'il s'agit, limpide, simple, puissant, superbement maîtrisé. Il coule, parfois violent et impétueux, et charrie la lumière d'un monde où les hommes jouent collectif, chacun maître de soi-même. Il court, ce petit texte, et fait longuement son chemin dans l'esprit du lecteur. La liberté reste toujours à conquérir. Télérama

‎" [L'ours] fit demi tour à quatre pattes en remuant son cul comme une danseuse "
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[ EVENT - FIN ]



C'est avec émotion que je clôture cette "semaine" qui a duré bien plus longtemps que prévu ! J'adresse un immense merci aux éditions  Hélium pour leur fidélité, leur confiance, leur disponibilité, leur générosité etc, avec un merci tout particulier à Gilberte ! Je vous tiendrai au courant de toute info intéressante et j'espère que l'aventure de cette édition se prolongera encore longtemps ! 

Je termine avec une chronique d'un livre très sympa et avec deux indices pour le concours,  pour les deux pingouins les plus durs !

Un des pingouins aime voyager en France ... mais non il ne transporte pas de bagages !

Un autre pingouin s'est trouvé un petit chez soi ! Peut-être pourrait-on l'appeler Hugo ...
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